dimanche 22 juillet 2012

Tout ce que j’ai je te le donne, mon Père.


Suite du précédent article. Extraits du livre de Baird T. Spalding, « La vie des maîtres », éd. Robert Laffont, col. J’ai lu, pp. 162-165
Je cite.


De tout mon cœur

O cœur de mon être, ô Père, je ne fais qu’un avec toi. Je te reconnais pour l’Eternel, le Père de tous. Tu es Esprit, omniprésent, omniscient. Tu es sagesse, amour et vérité. Tu es le pouvoir, la substance, et l’intelligence dont toutes choses ont été formées et grâce à quoi elles ont été créées. Tu es la vie de mon esprit, la substance de mon âme, l’intelligence de ma pensée. Je t’exprime dans mon cœur et mon activité. Tu es le commencement et la fin, la totalité du bien que je peux exprimer. Le désir de ma pensée, implanté par mon âme, est vivifié par toi en mon esprit. Dans la plénitude du temps, et par la loi de la foi, il est rendu visible dans mon expérience. Le bien que je désire existe déjà en esprit sous forme invisible, et je sais que je le possède déjà.

De toute mon âme

Les paroles que je prononce maintenant, ô mon Père, te décrivent l’objet de mon désir. Il est planté comme une graine dans la terre de mon âme et vivifié dans mon esprit par ta vie. Il faut qu’il s’épanouisse, il faut qu’il s’extériorise. Je ne permets qu’à ton esprit – Sagesse, Amour et Vérité – de se mouvoir dans mon âme. Je désire exclusivement ce qui est bon pour tous, et je te demande maintenant de l’accomplir.
Père qui es en moi, je demande à exprimer l’amour, la sagesse, la force, et la jeunesse éternelle. Je demande à réaliser l’harmonie, le bonheur, et une abondante prospérité. Je demande à recevoir directement mon intelligence de toi afin de comprendre la manière de tirer de la substance universelle ce qui est nécessaire à la satisfaction de tous les bons désirs. Et ceci, non dans un but égoïste, mais avec des mobiles purs en vue de posséder l’intelligence me permettant de rendre service à tous tes enfants.

De toute ma pensée

Ce que je désire est maintenant rendu clair. Je forme uniquement dans ma pensée ce que je désire. Comme une graine qui commence à croître sous terre dans le calme et l’obscurité, mon désir prend maintenant corps dans le royaume silencieux et invisible de mon âme. J’entre dans ma chambre secrète et je ferme la porte. Avec tranquillité et confiance, je maintiens mon désir dans ma pensée comme s’il était déjà accompli. Père, j’attends maintenant son exécution parfaite. Père qui es en moi, je te remercie de ce que l’accomplissement de mon désir soit continuellement réalisé dans l’invisible. Je sais que tu as répandu sur tout le monde avec amour et générosité l’abondance de tes trésors. Tu as exaucé tous les bons désirs de ma vie. Tu me permets de participer à tes opulentes ressources. Je peux réaliser mon unité avec toi, et chacun de tes enfants peut en faire autant. Tout ce que je possède, je peux le répandre sur tous afin d’aider tous tes enfants. Tout ce que j’ai je te le donne, mon Père.

De toute ma force

Par aucun acte ni aucune pensée, je ne dénierai avoir reçu en esprit l’exaucement de mon désir. Sa réalisation est maintenant parfaitement nette. Par l’esprit, l’âme, la pensée, et le corps, je suis sincère quant à mon désir. J’ai perçu ce qui était bon pour moi en esprit. Je l’ai conçu comme une idée parfaite dans mon âme. Je lui ai donné la véritable forme-pensée. Il est parfait. Je l’appelle maintenant à devenir visible, à devenir la manifestation véritable.
Je te remercie, Père, de ce que je possède dès maintenant : l’amour, la sagesse, l’intelligence, la vie, la santé, la force, la jeunesse éternelle, l’harmonie, le bonheur, l’abondance, et la méthode pour produire à partir de la substance universelle ce qu’il faut pour satisfaire tous les bons désirs.


Ne vous ai-je pas dit que si vous croyez, vous verrez la splendeur du Seigneur ?
Après que notre hôtesse eut parlé, il y eut un moment de profond silence, puis elle continua :

Comprenez que s’il n’y pas d’accomplissement, la faute en est à vous et non à Dieu. Si votre désir n’est pas rendu visible, ne retournez pas à votre demande. Faites comme Elie, insistez, tendez la coupe jusqu’à ce qu’elle soit remplie. Répandez-vous en bénédictions pour remercier de l’accomplissement actuel, même si toutes les pensées matérielles du monde vous obsèdent. Continuez, continuez, la chose est là. Croyez-moi, votre foi aura sa récompense.


Fin de citation.



Un désir peut-il se réaliser aussitôt exprimé ?


Pour y répondre, ci-après, extraits du livre de Baird T. Spalding, « La vie des maîtres », éd. Robert Laffont, col. J’ai lu, pp. 160-162
Je cite.

Notre hôtesse répondit que tout désir exprimé sous forme parfaite se réalisait. Elle ajouta que le désir est une forme de prière, que c’était la forme parfaite de prière que Jésus employait, car elle était toujours exaucée. Une prière toujours exaucée ne peut qu’être parfaite, donc scientifique, et si elle est scientifique, elle doit être conforme à une loi précise… Notre hôtesse continua :
Cette loi est la suivante : « Votre prière est exaucée selon votre foi. » Je dirai sous une autre forme : « Quels que soient les objets de vos désirs quand vous priez, croyez que vous les avez reçus, et vous les aurez. »

Si nous savons positivement que tout ce que nous demandons est déjà nôtre, nous saurons aussi que nous travaillons en accord avec la loi. Et si le désir est réalisé, nous saurons que la loi est accomplie. Si le désir n’est pas réalisé, nous saurons que nous avons demandé à faux. La faute n’en incombe pas à Dieu mais à nous. Dans ce cas, voici le commandement : « Vous aimerez le Seigneur votre Dieu de tout votre cœur, de toute votre âme, de tout votre esprit, de toute votre force, et de toute votre pensée. » Maintenant, descendez au plus profond de votre âme, sans préjugé, sans crainte, et sans incrédulité, avec un cœur joyeux, libre, et reconnaissant, sachant que les choses dont vous avez besoin vous appartiennent déjà.

Le secret consiste à se mettre consciemment à l’unisson avec Dieu. Il faut ensuite s’y maintenir sans dévier d’une ligne, quand bien même le monde entier s’y opposerait. Jésus disait : « De moi-même, je ne puis rien faire. Le Père qui habite en moi fait seul le travail. » Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, ne craignez pas. Souvenez-vous qu’il n’y a pas de limite à la puissance de Dieu. « Toutes choses sont possibles. »

En formulant votre demande, employez des mots positifs. Rien n’existe que l’état de perfection souhaité. Ensuite plantez dans votre âme la graine d’idée parfaite à l’exclusion de toute autre. Demandez à manifester la santé et non à être guéris de la maladie. Priez pour exprimer l’harmonie et réaliser l’abondance, et non pour être délivrés de l’inharmonie, de la misère, et des limitations. Rejetez ces dernières comme de vieux vêtements. Ce sont de vieilles affaires, les seules dont vous n’ayez plus besoin. Vous pouvez vous en débarrasser joyeusement. Ne tournez même pas la tête pour les regarder. Elles sont oubliées, pardonnées, retournées à la poussière d’où elles venaient. Elles n’existent pas. Tous les espaces qui paraissent vides autour de vous, remplissez-les de la pensée de Dieu, le Bien infini.

Ensuite rappelez-vous que la parole est une graine. Il faut qu’elle croisse. Quant à savoir où, quand, et comment, c’est l’affaire de Dieu. A vous, il appartient seulement de dire ce qu’il vous faut, et de donner des bénédictions en sachant qu’à l’instant où vous avez demandé, vous avez reçu. Tous les détails d’exécution du travail concernent le Père. Rappelez-vous que lui seul fait le travail. Remplissez fidèlement votre rôle, et laissez le sien à Dieu en ayant foi en lui. Demandez, affirmez, tournez-vous vers Dieu pour vos besoins, et ensuite recevez de lui l’accomplissement.

Conservez toujours dans l’esprit la pensée de l’abondance de Dieu. Si une autre pensée s’introduit, remplacez-la par celle-là, et bénissez cette abondance. Si besoin est, remerciez continuellement de ce que le travail se fait. Ne revenez pas sur votre demande. Contentez-vous de bénir et de remercier pour l’exécution du travail, pour l’opération de Dieu en vous, et pour la réception de ce que vous désirez, car vous désirez exclusivement le bien pour le répandre autour de vous. Que ceci se passe dans le silence et le secret. Priez votre Père, dans le secret, et votre Père qui voit le secret des âmes vous récompensera publiquement.

Quand vous aurez complété la démonstration, le temps ainsi employé vous apparaîtra comme l’un de vos plus grands trésors et vous aurez prouvé l’existence de la loi. Vous connaîtrez la puissance de votre parole lorsqu’elle est prononcée avec foi et bénédiction. Souvenez-vous que Dieu a perfectionné ses plans parfaits. Il répand continuellement sur nous avec générosité et amour le bien et toutes les bonnes choses que nous pouvons désirer. Il répète :

« Eprouvez-moi, vous verrez bien si je n’ouvre pas les fenêtres du ciel, et si je ne répands pas les bénédictions en tel nombre que la place fait défaut pour les recevoir ».

Fin de citation.
Suite dans le prochain article.


lundi 2 juillet 2012

BITSIKA HO AN’NY MANAM-PANAHY












1. Mitsofa rano fa aza manozona !

Manomboka hasavilivilin’ny rambon’ny « Maneno fitatra » (1) isika izao eto Madagasikara. Tsy atao mahagaga ny fianahan’ny faharatsiana sy ny habibiana ary ny fanararaotam-paty. Aleo handripadripaka avokoa ireo sahy ratsy hisedra ny tsiny aman-todin'ny tany aman-danitra mahaboka forehitra !

Azy ireo izao ny laka. Mahasoava azy ireo izay ataony rehetra. Tsofy rano amin’ny fo madio izy ireo, ahavanonan’ny tody aminy tsirairay avy. Aza mandratsy saina manozona azy ireo sao sanatria ny tena indray no manota. Izay vao ho sahiranan'ny bingom-po eo. Aleo azy ireo ny azy !

Lalàn’ny tany aman-danitra izao mihatra izao. Manivana ny tany, mikororoka ny voaàry, tompokolahy sy tompokovavy.  Izay akotry ihany no vanon-ko vary mahabotrabotra sy ho ambioka fanasin’ny tanin-taranaka. Izay akofa kosa ho pahon-tadio hiraparàpa any an-tanim-pandozàna fahalovan’ny tsiny.












2. Aza mamaly ratsy ny ratsy !

Maha-tandrèma tena ! Fadio ny fihetsika mandratra, fehezo ny vava tsy ambina, foany ny eritreritra vilana. Tandrovy ny hitsiny, hajao ny marina. Ny olo-mendrika tsy fola-mandefitra. “Maneno fitatra” isika izao. Tokony hitandrina no dikan'izany, tompoko ô, raha mbola te-ho vanona ihany !

Koa raha ilaina, ianaro Ramasabomanga ! Manaova ombay làlana eny an-dalàmbe ka hatreny an-tsena. Dingano ny singambolo mpandavo ny vositra, ahilio ny patsa iray tsy omby vava. Raha malina ê ?! Mifehy hazo tokana.

Mihainoa ilay Mpananatra mpibitsika am-pon’ny mahalala. Mahasahia mandeha tokana ho sahalain’Andriamanitra. Idiviro ny rebikondrin’ny ondrafana. Indrindra ny an’ireo jamba mpanara-dia jamba mpampikorotsaka an-kady.












3. Sao badenina ê !

Sao badenina ê ! Koa ho sodoka indray amin’ny langolangon’ireo efa  namoa-fady nandraraka an-tany ny ilo mby teny antampon-dohany. Ny andon’ny lanitra tsy indroa hirotsaka amin’ireo efa nahavanon-doza aman'antambo, nanota voady masina filolohavàm-pirenena ! Na hibebaka in-jato aman’arivo aza !!

Sao badenina ê ! Koa hiantsampy amin’ny hazo mampidanandranandrana, hitelina voankazo voarara mampiola-tsinay. Sao sanatria hihinana ambolony koa kenda vao domy aho, rahavana. Mahaiza mamantatra izay mpaminany sandoka ! Ny an’ny tena vita ihany fa ny taranaka no ho fadiranovana !!

Sao badenina ê ! Koa alaivo ambony, alaivo ambany. Tilio, tsikafony, savasavao ny ambahandain’ireo rehetra be filaza ho mpanavotra tanindrazana.
Na ireo mpangala-tety, mpambotry kamboty, mpitàvana harem-pirenena nandritra ny taona maro nifandimby !
Na ireo mitonona ho olom-baovao sy misora-tena toa voatango. Aza misy singanina na iza, na iza. Hatramin’ny tompon’izao lahatsoratra izao.












4. Antampon’i “Samy reraka” ve ?!

Izao no hafatra ampitaina koa ifampilazalazao. Afaka roa volana any ho any no hitsirika eto Madagasikara ny “Mangoambodilanitra atsinanana”. Mialoha ny faran’ity taona diavintsika ity, hivelatra ny « Mazava atsinanana ». Raha vao mitsidika io taon-ko avy io dia hipàka ny "Vaky masoandro". 

« Hifoha Olona » eto Madagasikara, tompokolahy sy tompokovavy.
 
Ireo mahavàtra mitandrina ka maha-fehy tena no ho velon'aina amam-panahy, ho velon-dririaria hihanoka ny Hazavana hitsidika dieny “Mangoambodilanitra atsinanana”.

Mahereza, tompokolahy sy tompokovavy ! Tapa-taona sisa, raha ela, no hihafiana izao hagaigen'ny lany fanahy, jiolahim-boto sy jiolahim-bavy, mpiliba ambony jàlim-bahoaka izao !!

Koa araraoty ê ! Araraoty ny fotoan-tsarotra toa izao hanaovan-tsoa.
Ny soa atao ? Levenam-bola, tompokolahy sy tompokovavy.

Antsirabe, 02 jolay 2012

RABEARISON Roland Dieu Donné Vahömbey.


(1)   Ny antsoina hoe « Maneno fitatra » dia toro fotoana malagasy, mandritra ilay aizin-kitroka firotsaham-panala rehefa ririnina toa izao. Fotoana filibàn’ny mpamosavy faramparany io, fotoana fandrapahany ny herivaika fonosin’ny aizina. Mandrovi-tsihy araka izay tratrany izy eo.
Fem-potoana ankatoky ny « Mangoambodilanitra atsinanana » no antsoina hoe « Maneno fitatra ».