Afin de partager plus rapidement ses réflexions
puisque nécessité supérieure fait loi à ses yeux, l’auteur décide de s’exprimer
de manière hybride, quand nécessaire. Alternativement en malagasy et en
français. Désolé de heurter l’académisme et la bienséance professorale mais les
délais s’amenuisent.
L’apparition de certains indices révélateurs dans les
actualités nationales et internationales lui impose d’être fermement proactif.
Décision inéluctable pour offrir aux plus séduisantes alternatives la
possibilité de se réaliser effectivement.
La perspective est tellement alléchante pour le
devenir de notre nation et l’avenir de l’humanité qu’une posture prospectiviste
doit immédiatement s’adopter pour lui créer les meilleures chances de réussite.
Nous pressentons tous que si le peuple malagasy endure autant d’épreuves depuis
des décennies, ce doit être à cause d’une raison supérieure qui échappe à son
entendement.
Hélas ! L’auteur craint que non. C’est depuis
des siècles et non seulement des décennies que ce vaillant peuple glisse vers
les abysses. Par contre, bonne nouvelle ! Des opportunités de remonter
enfin cet angoissant handicap sont en train de s’installer à sa portée. Mais à
lui, donc à chacun de nous, de les concrétiser en avantages réjouissants.
Les dires de l’auteur n’ont aucun trait à la
prophétie. Ils ne sont que les résultats d’une intuition aguerrie par une observation
méticuleuse associée à la déduction logique. Malgré l’aspect prometteur de la
configuration globale, astrométrique – astrologique et tournure des événements
au niveau du quotidien culturel-social-économique-politique, il n’y a non plus
aucun avènement miraculeux à cueillir tout mûr.
Peinture sur mur et crédit photo: Vahömbey. |
Dieu
et nous
Pour mieux faire comprendre combien cette posture
est stratégique pour notre progrès personnel et celui de notre pays, parlons
aussi comme les croyants. Depuis le temps que nous implorons Dieu d’agir
particulièrement pour nous, Il est en train de le faire. Soutenu par les anges
et relayé par nos ancêtres, Il nous fournit actuellement des cartes maîtresses.
A nous d’en faire bon usage et de bâtir notre propre jeu.
Son rôle divin se limite à installer les
conjonctures idéales et les conditions parfaites dans notre environnement
global dont la galaxie et l’univers. A nous d’accomplir les 50% restants. C’est-à-dire
d’amplifier l’action divine à notre niveau individuel et à l’échelle de notre
entourage immédiat. En somme, agir comme Dieu.
Sans nous contenter du
tout de nous y résoudre comme enfant de Dieu. Un enfant peut être raisonnable
ou capricieux selon ses humeurs du moment. Mais agir comme Dieu tel un adulte
consciencieux. Représenter Dieu. Voir tout et autrui comme la représentation de
Dieu. Les sages accomplis du Vedanta
appellent cela « Etre Dieu ».
Hériter de ses attributs et prérogatives comme de
ses obligations et responsabilités. Exprimer l’idéal absolu de Dieu à travers
nos sentiments, nos pensées, nos paroles et nos actes. Ainsi se décrivent
clairement les 50% du travail qui nous revient. L’intelligente association,
humaine d’une part et divine de l’autre, transcende l’ordinaire et concrétise l’extraordinaire,
immanence disent les philosophes.
Cette jonction de la transcendance avec l’immanence
sert de fondement logique au miracle si cher aux yeux des croyants.
Vu les oeuvres actuelles de Dieu au sein de l’univers, assimilables par l’astrologie basée sur l’astrométrie, l’immanence se déverse sur
nous de plus en plus. Des réalisations miraculeuses, hors de portée de l’entendement
des incrédules et des sceptiques, sont désormais en attente de matérialisation.
Leur effectivité ne tient qu’à notre degré de conviction et d’engagement. En un
mot, la foi. Celle du croyant libre de tout sectarisme. Et la logique. Celle du
philosophe amoureux de la sagesse.
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Récapitulation
Ces soubassements et motivations mis en évidence, l’auteur
tient à rappeller l’extrême importance de l’un des concepts-clés de ses travaux
de réflexion. Mpanazary est celui qui
réalise la jonction de la transcendance avec l’immanence. Ainsi armé, il peut s’occuper
d’harmoniser pour l’humanité, à commencer par sa propre communauté, le
processus permanent de création divine.
Cette redéfinition établie, l’auteur avance
désormais son postulat majeur. Au Vazimba,
concept générique de l’identité originelle malagasy, est attribué d’office cet état
d’esprit mpanazary.
Rescapés des cataclysmes évoqués dans tous les
récits mythologiques et confirmés par les observations géologiques, les Vazimba auraient appartenu aux
générations appelées à repeupler la terre. Logiquement, leurs conditions de
survie et de reproduction ne pouvaient que reposer sur la qualité de leurs
relations symbiotiques avec leurs environnements naturel et surnaturel.
Dans le cas de Madagasikara, simultanément avec
l’apparition des Tsingy de Bemaraha selon les traditions orales Vazimba Bahosy. Peuplade affectée à la
renaissance de l’espèce humaine, ils devaient nécessairement être mpanazary comme toute autre population
nouvellement issue de la matrice, la Terre-Mère. En Egypte comme à Gobi ou
ailleurs.
Que les successives vagues de migration vers
Madagasikara aient fait régresser cet état d’esprit, à force de syncrétisme, ne
nuisent en rien la clarté de l’évidence suivante. Les Vazimba, autochtones et maîtres de la terre, avaient nécessairement à contracter des alliances de parenté avec tous les nouveaux arrivants. Déduction :
tout Malagasy, qu’il en soit fier ou en ait honte, a forcément un ancêtre vazimba. Logique ! D’où notre
assertion de Génome Vazimba.
Génétiquement, les Malagasy sont des descendants de Vazimba. Hypothèse que l’histoire a du mal
à accréditer. Quand elle ne s’y refuse carrément ! Or, les données
astrométriques viennent de sonner le glas d’une renaissance après un retour à
l’origine, il y a à peine un mois. « Retour vers le futur », diraient
les fins d’esprit. C’est le moment ou jamais de rebondir à partir de notre
potentiel vazimba.
C’est l’immanence elle-même qui vient à la rencontre
de notre volonté de transcendance pour faciliter la Révolution Vazimba.
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Révolution
Pour dissiper tout malentendu, qu’entendons-nous par
révolution ? Empruntons les définitions fournies par Larousse.
En astronomie, révolution renvoie au mouvement
orbital périodique d'un corps céleste, notamment d'une planète ou d'un satellite,
autour d'un autre de masse supérieure. Rappelons-nous de la date du 19 février
dernier rapportée dans les articles précédents. La copulation rarissime des
luminaires, le soleil et la lune, au 0° des poissons. Début de la
« Reprogrammation galactique », avons-nous avancé. Décisif ! Crucial !!
Autrement, révolution signifie aussi changement
brusque d'ordre économique, moral et culturel qui se produit dans une société.
On parle de révolution culturelle quand se produit un bouleversement profond
des valeurs fondamentales d'une société. C’est ce qui est en train de prendre
corps.
Voyons combien la célébration en grande pompe du « Taombaovao malagasy »
s’adopte de plus en plus par une frange grandissante des leaders d’opinion. Alahamady selon le comput antemoro mais Alakaosy pour son équivalent dit Ntaolo. Nous y reviendrons.
Auparavant, inventorions succinctement nos connaissances
actuelles du Vazimba. Quelles en sont
les limites et les possibilités ?
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Du
côté de l’histoire
La vaillance du concept Vazimba dans la mémoire populaire, qu’il est d’ailleurs possible de
renforcer par des procédés mnémotechniques, tient tête aux tribulations de
l’histoire officielle de notre pays. Entendons par histoire officielle, les
faits et les événements consignés par écrit qui se transmettent formellement de
génération en génération. Le fait d’avoir été écrit leur confère une certaine
légitimité assimilable à la véracité.
L’histoire officielle se distingue aussi par le fait
d’être grand public, pour ainsi dire réduite à son expression la plus
synthétique dans sa remontée du temps. Les secrets de ses coulisses sont, quant
à eux, archivés précieusement par les chercheurs chevronnés, académiques ou non-formels.
Dissimulés, pour une raison ou une autre. Et dans un autre registre, parlons à
peine des versions officielles travesties pour des raisons personnelles,
familiales ou claniques. Pour ainsi dire, politiques.
Sachons une chose. Les unités culturelles dominantes savent toujours décrire les réalités de leur temps à leur propre avantage. Il y va de leur assise politique pour structurer et pérenniser leur pouvoir de domination sur les agrégats dominés. Des probables mystifications sont donc toujours à débusquer dans les écrits hérités.
Sachons une chose. Les unités culturelles dominantes savent toujours décrire les réalités de leur temps à leur propre avantage. Il y va de leur assise politique pour structurer et pérenniser leur pouvoir de domination sur les agrégats dominés. Des probables mystifications sont donc toujours à débusquer dans les écrits hérités.
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Prédominance
de l’écrit
Vigilance ! Qu’il s’agisse de documents en
caractère latin, ou arabe auquel s’apparente le sorabe. Quant au sanskrit, personne ne peut véritablement témoigner
de la portée de son influence dans notre histoire officielle jusqu’à présent.
Et ce, malgré les remarquables travaux de Dama-Ntsoa dans ce domaine. Ainsi de
même, pour l’hébreu quoique l’existence de vagues de migration juive puisse
s’attester à Madagasikara. Quoique perceptibles, les indices à leur sujet
semblent trop épars pour composer un ensemble systémique.
Les autres apports, particulièrement austronésien et
africain, se seront fait assimiler dans un processus syncrétique provoqué par les
multiples transferts entre les strates anciennes de population. Sans pour
autant s’être inscrits de manière déterminante dans le patrimoine de l’écrit,
même pour le swahili. L’indo-pakistanais, clos dans l’endogamie, et le chinois
plutôt prompt à l’intégration sont trop récents pour s’inclure dans les
tranches d’histoire qui nous intéressent.
Les seules données historiques jugées consistantes
sont donc les plus résurgentes. Dans l’ordre chronologique, celles fournies par
le sorabe et autre(s) équivalent(s),
probablement dès le 14ème siècle. Elles se réfèrent aux principales dynasties
monarchiques issues de sources communes. Voir à ce propos le texte « Taombaovao malagasy ».
Hégémonie consolidée par les exceptionnelles
connaissances d’un groupe fermé dont au sommet de la généalogie se trouve l’éminent
Ralitavaratra. La réplique de ce schéma demeure vivace jusqu’à nos jours. Non
plus dans le contexte de la royauté mais de celui de la république.
Les autres données, nettement plus récentes, sont en
caractère latin à commencer du 17ème siècle. Ici, nous retrouvons le
plus familier de nos quiproquos historiques qui vont jusqu’à défrayer la
chronique à différentes époques. Lassant va-et-vient entre souveraineté
nationale et besoin de financement, acculturation et déculturation, dignité et
humiliation. Inutile de revenir sur ce qui a déjà été traité dans le précédent
article.
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Rapport
de forces
Relégués par l’histoire officielle au rang de
primitifs frustes, les Vazimba ne
disposent pas de legs écrits suffisamment conséquents pour se rebeller contre le déclassement, voire
le rejet, dont ils font l’objet. Du moins, jusqu’à preuve de contraire. Magnanimes,
reconnaissons que c’est dans l’ordre habituel des choses.
Toute communauté plus simpliste dans sa vision du
monde, plus frugale dans son style de vie et trop élémentaire dans son mode de
production peine à garder sa capacité de reproduction. Au-delà d’un seuil de
résistance favorisé par l’isolement, les autochtones cèdent souvent devant une
certaine idée de la modernité. D’autant plus si les nouveaux migrants savent s'armer d’arguments convaincants doublés d’un esprit conquérant.
Or disposer de l’écrit suppose une prééminence
intellectuelle mieux systématisée, une répartition des connaissances nettement
compartimentée, un accès aux types de savoir habilement hiérarchisé, et une
organisation sociale plus structurée.
Ainsi, nulle raison de s’étonner si les Vazimba se seront fait absorber au fil
du temps. Au point d’exister difficilement à travers l’histoire officielle. Et
encore, le plus souvent de manière imprécise, à peine anecdotique. Dès lors, que
reste-t-il au grand public sinon verser dans leur mystification ? En
attendant mieux.
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A-côtés
de l’histoire
Dans notre cadre de référence, les éclaircissements
apportés par l’archéologie ne sont pas à minimiser. Prometteurs, ils sont
encore insuffisamment révélateurs pour se hisser au rang d’évidence. Même si
les découvertes récentes effectuées dans l’Ouest de Madagasikara tendent à
renforcer les opinions fondées sur l’intuition des chercheurs, elles peinent à
décrypter l’historique de nos ancêtres Vazimba
établis du côté des Tsingy de Bemaraha.
D’ailleurs, des phénomènes bizarres, inexplicables
pour la rationalité scientifique, ne manquent de paver le déroulement des
recherches. Manifestation du sacré, oscillant entre tabous et interdits, pour
les autochtones, ils sont péjorativement catégorisés mystiques par la
compréhension occidentale. Résultat : relégués au rang d’anecdotes, leur
mention croupit dans les cahiers de bord des chercheurs patentés, en attente de
validation tangible ultérieure.
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Mythe
fondateur
Pour surmonter les écueils de perplexité si courants
dans le milieu de la recherche conventionnelle, il convient de multiplier les
types d’investigation. Surtout sur un sujet aussi fluide que celui du Vazimba. Comme l’histoire, malgré le
renfort notable de l’archéologie, bute au-delà des périodes consignées par
écrit, il faut remonter à ses confins. Pour ainsi dire, se tourner vers la
mythologie. Plus précisément, les mythes fondateurs.
Entre autres ouvrages de référence, nous avons à
disposition l’ « Anganon’ny Ntaolo », L. Dahle et J. Sims. Que
d’indications, dès Iboniamasiboniamanoro !
Aussi précieuses les unes que les autres. Sans forcément verser dans des
travaux d’exégèse, une lecture minutieuse peut nous renseigner sur une foule de
détails à lier les uns aux autres. Il ne faut pas non plus hésiter à
déstructurer la narration initiale, comme lire à l’envers par exemple, afin de
découvrir des indices masqués.
Dans la plupart des cas, les mythes sont
polysémiques et peuvent s’interpréter à des degrés différents de compréhension.
Et petite astuce, ô combien payante pour tout chercheur bien vigilant, lire non
seulement avec les yeux mais en prononçant distinctement. C’est extrêmement
révélateur.
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Traditions
orales
Le recueil direct des traditions orales constitue
aussi une alternative payante. Dommage que les services nationaux d’antan aient
été supprimés. Ils contraignaient à aller dans des contrées inscrites en tout
petit caractère sur les cartes, à découvrir des terreaux culturels aux
richesses inimaginables tout en vivant le quotidien des gens du crû.
Racontars, contes, légendes, ou mythes. Avec le
temps et la maturité aidant, tout intéressé finira par discerner l’essentiel.
Entre us et coutumes, mœurs et traditions, la place du Vazimba dans l’environnement réel, ou dans l’imaginaire collectif
rural, se fera sentir pour se traduire quelques fois en dires explicitement
formulés ou non. Puis, au détour d’une banale conversation avec un compagnon
local, surgit une information de première main.
« Passons plutôt par-ici que par là. Pourquoi ? Parce qu’il y a un
tombeau de descendants directs de Vazimba
par-là. Où ? Là. Mais c’est un tombeau moderne. Bien sûr,
leurs ancêtres pour mourir disparaissaient sans se faire enterrer. Mais comme
les descendants n’en ont pas su garder la dignité, ils meurent comme tout le
monde. Et alors ? Mais ne
voyez-vous pas ? La porte de pierre de leur tombeau est dirigée vers le
sud et non vers l’ouest comme pour tout le monde. » Donnée ethnographique
capitale !
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Autres
pistes
Indication importante, se souvenir que les Tandroy
comptent parmi les rares groupes identitaires malagasy à ne s’être jamais
organisés en dynastie monarchique tout en occupant un vaste territoire. Sans
mésestimer non plus l’originalité de leur table de valeurs, la rigueur de leur
système normatif, la vigueur du lien établi entre l’économique, l’éthique,
l’esthétique et la mystique. En fait, leur cosmogonie tout autant que leur
vision du monde. S’y intéresser aidera à esquisser le profil du Malagasy archaïque,
ce superbe méconnu paradoxalement ignoré par l'histoire. Et par extrapolation, pourquoi pas celui du Vazimba ?
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Conclusion
Les recherches conventionnelles aboutiront un jour ou
l’autre à un accord scientifiquement justifiable sur l’existence véridique des Vazimba historiques. Les grandes
avancées de la génétique finiront aussi par mettre à jour la preuve de la
présence somatique de notre présupposé Génome
Vazimba chez tout Malagasy.
Tout comme le sikidy
et le fanandroana qui s’informatisent
volontiers, le rohotanim-bazimba
aussi disposera de ses logiciels de programmation et d’application. Ainsi, la
géomatique se trouvera amplement servie pour aider notre pays à se moderniser
au-delà de toute prévision.
Le jour où ces déterminants culturels patrimoniaux,
encore confinés dans notre psyché jusqu’à ce jour, seront technologiquement
aussi accessibles que n’importe quel outil de travail, … Madagasikara connaîtra
un progrès sans précédent.
Dans le prochain article, nous attirerons
l’attention sur l’importance cruciale de deux intervalles temporels bien
déterminés dont l’un est aujourd’hui au cœur des actualités sous la
dénomination de « Taombaovao
malagasy ». Et peut-être, pourrons-nous enfin conclure par une
réflexion sur le fondement épistémologique de notre égarement historique dont la Révolution Vazimba constitue l’une des meilleures panacées ? « Katran’aoly », dit-on en Androy.
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2 commentaires:
"Et se conformer au conseil du penseur Deepak Chokra "
hum, évoquez-vous Deepak Chopra ?
Bien à vous !
En effet. Vraiment merci de votre attention. Je viens de rectifier.
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