Série d’articles, pourquoi ?
Par altruisme, d’abord.
Partager ce qu’on a. Si on est ce qu’on est, c’est parce que, d’abord, on a
beaucoup reçu d’autrui. Simple principe de réciprocité.
Et puis, question de conviction
! On ne peut nonchalamment traverser cette vie-ci puis passer à trépas le jour
J, comme si de rien n’était. Sans rien laisser de bien derrière soi. Sinon on
ne mériterait jamais le statut de «
RAZANA » - Ancêtre qui avait convenablement vécu son existence ici-bas en
faisant du bien autour de lui et dont les siens gardent le souvenir d’un bon
modèle à imiter, à surpasser.
Enfin, pour contribuer à la
révolution des mentalités. Madagasikara a besoin d’élite pour élargir le
sillage du progrès au profit des générations futures.
Elite ne signifie point ici
être super-diplômé ou d’autres absurdités du même genre.
Elite, dans ce contexte-ci,
veut dire quelqu’un de sensé, de stable et d’équilibré. Quelqu’un de bien avec
lui-même, donc capable de rayonner. Quelqu’un qu’on a envie d’imiter.
Aussi, la série d’articles «
Se coacher soi-même » a-t-elle également vocation d’éducation politique au sens
le plus noble du terme. D’abord, évoluer soi-même. Avant d’espérer voir évoluer
les gens et les choses autour de soi. Pour qu’on se comprenne bien à ce propos,
voyons le contenu de ce lien-ci.
Mise au point :
L’auteur de ces lignes est
coach en développement personnel depuis des dizaines d’années. S’il avait voulu
devenir gourou à la tête d’une secte pour singer les milliardaires amasseurs de
dîmes, ça aurait déjà été fait. Autant lever toute forme de doute et autre
velléité de méfiance à ce sujet !
Son but est clair. Aider
celui qui le souhaite à se sentir de plus en plus libre vis-à-vis de lui-même
et d’autrui. Donc, totalement autonome. Nulle question de provoquer, ni
d’entretenir une quelconque dépendance vis-à-vis du coach ! C’est tout le
contraire des visées et des agissements d’un gourou de secte. Sans inutile commentaire !
D’ailleurs, le coach auteur
de ces lignes se déclare lui-même « Rônin
», samuraï sans terre ni maître.
Pourquoi aurait-il à formater une armée de robots dont il n’avait jamais eu nul
besoin ? Solitaire de nature, il est bien avec lui-même. Cela lui suffit
amplement.
Donc, avec lui, hors de
question de s’embarrasser des différences d’opinion, de religion ou de tout ce
qui relève des croyances personnelles. Chacun est libre de vouloir être ce
qu’il est. Et c’est tout à fait bien ainsi.
L’auteur de ces lignes est
coach professionnel. Pour rien au monde, il ne sera jamais gourou manipulateur
à deux sous. Ou quelque chose qui y ressemble. Cela ne l’intéresse pas du tout.
Mais alors, pas du tout !
Professionnel.
Ses séances de formation
interpersonnelles sont payantes. Tarifées comme toute consultation ordinaire chez
les thérapeutes de différents ordres dignes de ce nom.
Ce qu’il a à partager est le
fruit de plusieurs dizaines d’années de recherches théoriques et de pratiques
expérimentales. Cela a son coût.
L’apprenant qui vient le voir
peut s’assurer d’être aiguillé avec et vers les meilleurs raccourcis pour se coacher lui-même afin que son existence et sa vie soient en harmonie. Cela coûte son prix.
Par ailleurs, sa déontologie
personnelle lui impose une confidentialité des plus strictes. Le fichier client
est top secret. Personne d’autre que lui n’y a accès. Jamais de toute sa carrière, il n’a failli sur ce point.
Raison pour laquelle toute
consultation est individuelle. Sans témoin aucun.
Nota bene :
Si jamais vous vous
intéressez à cette série d’articles « Se coacher soi-même », prenez la peine de
la lire avec attention. S’il vous plaît. A commencer par le numéro # 01. Et
ainsi de suite.
Puis, pratiquez par
vous-mêmes. Mettez à l’épreuve ce qui y est écrit. Savoir est une chose. Avoir
compris par soi-même en est une autre. Sinon vous n’en tirerez point les
bénéfices qui vous y sont promis.
Voulez-vous approfondir un
peu plus ? Un entretien personnalisé en face-à-face vous permettra de mieux
décider. Cette prise de contact est gracieusement offerte, non-payante.
Pour ce faire, il suffit
d’écrire à l’adresse vahömbey@gmail.com ou de prendre rendez-vous au 034 08 720 04.
Illustration musicale :
Eros & Thanatos.
L’amour est plus fort que la mort. De toutes façons et de
différentes manières, assénerait-on bien volontiers. Quoique dans cet
article-ci, abordons cette assertion sous un angle inhabituel. Uniquement pour public averti. Merci.
Ah ! Ce dualisme pulsionnel
qui nous fait balloter d’un extrême à l’autre tout au long de notre existence.
Quelle belle compréhension de la vie pourtant si nous les cernions mieux afin
de trouver une zone d’équilibre entre les deux ! Même provisoirement. De temps
en temps.
Sigmund Freud parlerait de
pulsions (*) antagonistes : pulsions de vie et pulsions de mort. Eros et
thanatos. Avant de présenter les articles qui serviront à apprivoiser Thanatos,
abordons d’emblée Eros. Cette si belle pulsion de vie. Celle apparentée à la
sexualité.
Quel sujet réputé tabou que
celui-là ! Surtout auprès de certain(e)s concitoyen(ne)s si prudes, tellement prompt(e)s
à s’outrager. Pourtant, dans notre quotidien, presque tout nous ramène à la
sexualité quand tout ne part de là.
Dès qu’on parle d’amour,
identifié délibérément ici à Eros, il est de meilleur ton de n’aborder en
cercle élargi que son aspect poétique. Trop souvent, pseudo-poétique. Et pour
faire chic, avec un zeste romantique. Tout en brassant autour de l’onirique.
Pour finalement se réfugier dans le platonique. Bravo ! Bonne éducation. «
Normal » à souhait. Bonnes mœurs et pudeur sauvegardées. Demeurer ainsi et être
bienheureux, rien à dire sauf sincères félicitations.
Quoique ce serait injuste de
faire semblant d’ignorer ceux et celles qui souffrent discrètement de
frustrations profondes en matière de sexualité au point de gaspiller leur
énergie créatrice en refoulement maintes fois répété.
Ceux et celles qui masquent
le désordre de leurs réalités « intimes » par une sublimation parfois
déraisonnable : course effrénée vers la réussite sociale, boulimie de l’avoir et
du pouvoir, … En somme, du paraître à l’excès pour (se) faire illusion
d’exister.
Dans ce cas de figure,
serait-ce pécher de faire pragmatique ? Crevons l’abcès.
Ceux et celles qui sont en
parfait accord avec leur sexualité réussissent ce qu’ils/elles entreprennent
avec mesure, assurance et perspicacité. Leur secret ? La confiance en soi.
Devenir sexuellement
épanoui(e) procure une force vitale nullement comparable à aucune autre.
A ce sujet, ici se circonscrit ma latitude
de suggestion. Pour dissiper toute méprise et autre malentendu
indésirable, faisons appel à un spécialiste de la question. Ce french lover saura nettement mieux que
l’auteur de ces lignes vous dévoiler les dessous de certaines ardentes
passions.
(*) Pour la psychanalyse, la
pulsion équivaut à une force à la limite du psychique et de l'organique, qui
pousse le sujet à accomplir une action visant à réduire une tension.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pulsions_(psychanalyse)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pulsions_(psychanalyse)
Illustration musicale :
Distanciation.
Après mûre réflexion, ma
décision fut prise de publier une série d’articles sur Facebook pour encourager
mes contemporains, et surtout mes concitoyens, à s’exercer chaque jour pour
mieux s’estimer soi-même.
Estime croissante de soi quoiqu’on puisse paraître aux
yeux d’autrui. Où qu’on se trouve et en toutes circonstances. Bien sûr, on n’y
parvient jamais tout le temps à 100 %. N’empêche !
Le but est simple. S’exercer à
raccourcir la période nécessaire de recul avant de se reprendre sainement en
mains. Prendre de l’élan afin de rebondir !
Notons que cette
distanciation, prise de distance vis-à-vis du vécu et du ressenti, est tout ce
qu’il y a d’utile pour cultiver l’optimisme.
A retenir absolument : cette
distanciation est nécessaire quoiqu’on ait vécu.
Souffrance ? Souffrons à
fond, laissons couler les larmes à flots.
Joie ? Rions aux éclats « à se tailler les entrailles » , tapa-tsinay.
Joie ? Rions aux éclats « à se tailler les entrailles » , tapa-tsinay.
Puis redémarrons la décision
vers d’autres situations à vivre qui ne seront jamais totalement connues
d’avance. Heureusement ! Sinon, autrement, la vie vaut-elle la peine d’être
vécue ? Son sel, c’est l’inconnu.
Attention
! Le principe est mécanique. Je m’explique.
Il s’agit de mettre volontairement en place un nouveau mécanisme d’habitude.
Il s’agit de mettre volontairement en place un nouveau mécanisme d’habitude.
D’une part, nous avons
tendance à rallonger autant que possible nos sentiments et nos sensations quand
nous sommes en joie. Certes, autant en tirer pleine satisfaction. Mais gare au
piège ! Trop souvent, prolongeons-nous artificiellement nos plaisantes
impressions même quand ne subsistent plus de la belle fête que les débris… Et
que tout le monde soit parti.
D’autre part, nous nous
désolons de déprimer à l’excès quand nous sombrons dans la peine. Le ciel nous
semble tomber sur la tête. Nous nous enfonçons sous terre. Nous nous noyons.
Pire ! De cette noyade suicidaire, nous refusons de nous extraire. Le comble
est qu’il nous arrive d’en tirer plaisir.
Stop ! Dans pareil cas,
commencer par se laver les dents. Prendre une douche. S’habiller. Se coiffer.
Se rendre présentable à ses propres yeux devant le miroir. Puis se sourire à
soi-même. Sincèrement. Du fond du cœur. Ce beau sourire-là, il faut oser se
l’arracher.
Conclusion:
Voulons-nous voir se
raccourcir la période de déprime après un coup dur ?
Evitons de rallonger à l'excès la joie après l'avoir pleinement vécue !
Evitons de rallonger à l'excès la joie après l'avoir pleinement vécue !
Ces deux extrêmes-là
obéissent à un seul et même fonctionnement mécanique.
A nous de modeler ce mécanisme à force de volonté.
Là est la clé.
A nous de modeler ce mécanisme à force de volonté.
Là est la clé.
Pour faire pragmatique, à
coup de dispositions pratiques, réécoutons « SI », le fameux poème de Rudyard
Kipling.
Illustration poétique :
Mission.
« Bonté divine ! De tout ce
que je fais, rien ne va !! Mais qu’est-ce que je fous là ?!? Ici et maintenant.
Avant-hier, hier encore, ça semblait aller. Mais à présent, … Pppffff !!! »
Trop souvent, nous
arrive-t-il de douter de tout dès que nous doutons de nous-mêmes. Le doute,
quoique désagréable, a son utilité. Il oblige à se remettre en question, quitte
à faire tabula rasa, table rase de
tout.
Sitôt la bonne distanciation
effectuée, nous reprenons goût à tout. Nous nous rendons mieux compte combien
nous sommes riches de ce dont nous disposons déjà. Et nous découvrons ce qui
nous manque pour vivre mieux. Savoir ce dont nous ne voulons pas nous aide à
cerner ce que nous voulons.
Qu’est-ce que nous voulons ?
Là est la question.
Pour y répondre, dans sa
globalité, l’une des meilleures alternatives sera de revenir à la source. Tel
est l’objet de cet article.
Déjà faut-il savoir que nous
sommes tous, sans exception, venus sur terre pour accomplir une mission. Pire
purgatoire, j’espère, n’existe nulle part ailleurs qu’ici. Sur terre. Nous
sommes ici pour nous parfaire. Autrement dit, apprendre à devenir parfait. Tout
au moins, apprendre les rudiments de la perfection.
Comme le rapporte Platon dans le Mythe d’Er le Pamphylien (*), nous avons
choisi nous-mêmes nos missions respectives. Ainsi que la période durant
laquelle chacun a à accomplir la sienne. Le lieu, en l’occurrence le pays, où
la réaliser. Voire, les géniteurs, la parenté et l’entourage élargi. Tout,
pratiquement tout, découlerait des options que nous avions nous-mêmes
sélectionnées quand nous avions à venir ici sur terre.
Nous sommes là, ici et
maintenant, car nous l’avions voulu. Nés pauvres, riches, vigoureux,
handicapés, etc. Nos données à la naissance proviennent de nos propres
décisions en venant sur terre. En fonction de la mission à remplir. A
souligner, à ce propos, le fait d’avoir choisi nous-mêmes nos propres missions.
Comment découvrir cette mission ?
Plusieurs démarches aident à
y parvenir. D’origine orientale, pour la plupart. Mais pour aujourd’hui, nous
nous contenterons d’une version occidentale accessible en totale autonomie.
Celle des pythagoriciens, disciples de Pythagore (**).
Avant de s’endormir pour la
nuit, passer en revue et se rappeler jusque dans ses moindres détails tout ce
qui a été vécu dans la journée.
Avant de se réveiller le
matin, se remémorer autant que possible tout ce qui a été vécu durant le
sommeil.
Cet exercice est à faire
progressivement. Et surtout régulièrement.
Entre autres avantages
pratiques, fort bénéfiques au quotidien, ce simple exercice aide à découvrir «
la mission ». Pour commencer à trouver réponses aux questions existentielles :
« Pourquoi suis-je sur terre ? Qu’est ce que j’ai à faire ? Quand et comment dois-je le
faire ? ».
Dès lors, on s’accommode
mieux de tout ce qui ne dépend nullement de soi.
Pour s’occuper exclusivement de ce qui dépend de soi.
A commencer par soi-même.
Pour s’occuper exclusivement de ce qui dépend de soi.
A commencer par soi-même.
(*) https://fr.wikipedia.org/wiki/Mythe_d%27Er_le_Pamphylien
(**) https://fr.wikipedia.org/wiki/Pythagore
Illustration musicale :
https://www.youtube.com/watch?v=10pUTObgIog
https://www.youtube.com/watch?v=10pUTObgIog
Heureux.
Ma mission sur terre : être
heureux pour aider les autres à être heureux aussi.
Très récemment, je l’ai brutalement
compris. Pour la première fois de ma vie, j’ai osé montrer à mon épouse un lieu
que j’ai toujours fui. L’endroit, dans le tunnel d’Ambanidia, où j’étais assis
avec un misérable petit chapeau par terre. Je mendiais dans la rue. J’avais 11
ans.
Dieu merci ! Enfin, à 58 ans
passés, je me suis reconnu dans cet enfant-là. Je suis cet enfant qui, depuis,
est devenu ce que je suis. Quelqu’un de libre dans sa tête, quelqu’un qui
réussit. Quelqu’un qui sait que sa vie ne fait que commencer. Comme un sincère
apprenti. Que de belles choses en perspective ! Merci, la vie !!
Si nous nous fendons de cet
article-ci, c’est pour faire part d’une philosophie toute simple. Mais ô
combien, importante.
Chaque moment, tant que nous
soyons en vie, sert à grandir toujours un tout petit peu.
Comme une graine dans un
jardin. Résister à l’insolation comme à la pluie diluvienne. A la sécheresse
comme à l’inondation. Mais jouir aussi du doux soleil du matin. Se nourrir du
petit crachin. Ainsi va la vie.
La grosse différence entre
cette graine et nous, c’est que nous réfléchissons trop. Réfléchir pour
réfléchir, autant le faire sur tout ce qui nous aura meurtris. Que nos
souffrances enfouies nous servent d’engrais ! Tirons-en parti !!
Pardonnons-leur, pardonnons-nous !!!
Pardonner est un acte de
volonté. Pour ce faire, il faut être volontaire. Décider de pardonner.
Quant à l’oubli, il vaut
mieux laisser le temps et la durée s’en occuper. Laissons les jours succéder
aux nuits. Viendra toujours le temps où nous en rirons.
Pour faire de la place à
l’oubli, commençons à pardonner.
Volonté.
Nous nous serons aperçus que
dans les articles précédents, il aura toujours été question de volonté. Autant
dire tout de suite que la volonté s’aiguise. A tout instant. Au fil des jours.
A longueur d’année. La volonté se dompte.
Quelqu’un qui se familiarise
avec la maîtrise de la volonté sait avancer quand il faut avancer. Et s’arrêter
quand il le faut. Patienter si besoin est. Et foncer dès que la situation s'y
prête.
Nous disposons tous d’un
corps, d’un cerveau, d’un cœur et d’une âme. La création divine nous aura
offert un très beau cadeau. Nous pouvons disposer de notre corps pratiquement
comme nous le voulons. Le corps est à la fois palpable et malléable. Et
merveille des merveilles ! En travaillant sur le corps, nous avons accès au
cerveau. Et au cœur. Ainsi qu’à l’âme.
Aussi, l’astuce consiste-t-elle
à faire du corps le terrain d’exercice quotidien de la volonté !
L’homme, au sens générique du
terme, est une extraordinaire mécanique dont le corps est le coffret. Il faut
lui renforcer l’ossature. Lui assouplir les articulations. Lui améliorer les
tendons. Lui tonifier les muscles. Lui étirer la peau. Lui fluidifier les
vaisseaux sanguins. Lui galvaniser les nerfs. Lui vivifier les cellules.
C’est à ce propos que doit s’exercer la volonté.
C’est à ce propos que doit s’exercer la volonté.
Cette si belle mécanique se
nourrit d’aliments. Mais nous ne mangeons pas toujours comme nous le
souhaitons, pour diverses raisons, n’est-ce pas ? Plutôt difficile de trop
compter là-dessus.
Quoique faire l’effort de manger sainement exerce aussi la volonté.
Quoique faire l’effort de manger sainement exerce aussi la volonté.
Notre corps, dit-on, se
constitue d’à peu près 80 % d’eau. L’idéal est de renouveler, tous les jours,
cet immense réservoir avec au moins deux litres d’eau tiède.
Nos gentils caprices font
qu’à la longue, cela devienne fade. Donc, un petit coca par-ci, une bonne bière
par-là, quelques lampées de rhum ou plusieurs gorgées de vin. Pourquoi se
priver des bons plaisirs du palais ? Cela rend de bonne humeur et fouette
l’envie de croquer la vie. Inutile de jouer les ascètes non plus !
Et puis, ces délicieuses
boissons sont quand même à base d’eau. Mais sans les pures vertus de l’eau. Ce
sera judicieux après quelques écarts d’en revenir à la cure d’eau tiède. Deux
litres !
Se lâcher un peu pour mieux se reprendre en main. Question de volonté !
Se lâcher un peu pour mieux se reprendre en main. Question de volonté !
Si l’aliment s’achète et que
l’eau ait son coût, seul l’air est gratuit. Encore faut-il savoir en soutirer
le maximum d’avantages ! Si respirer est naturel, bien respirer est culturel.
Cela s’apprend et se cultive. Et là, plus que jamais, on a besoin de volonté.
Les traditions orientales
offrent un registre quasi-inépuisable en matière de procédés et de techniques
respiratoires. Du yoga au taï-chi. Du viet-vo-dao au karaté-do. Le karaté
d’Okinawa impose des kata dits respiratoires - sanchin / tensho - à chaque séance d'entraînement. Là-bas, les senseï – instructeurs - forcent l’admiration
et le respect pour leur vigueur et leur longévité. Principal secret : la
discipline respiratoire.
A retenir :
Caler la volonté sur chaque mouvement respiratoire améliore sensiblement la volition, cet acte par lequel la volonté se détermine à quelque chose.
Caler la volonté sur chaque mouvement respiratoire améliore sensiblement la volition, cet acte par lequel la volonté se détermine à quelque chose.
Nous en reparlerons.
Illustration musicale :
https://www.reverbnation.com/vahömbey/song/13348915-valy-album-bezoro-2007
https://www.reverbnation.com/vahömbey/song/13348915-valy-album-bezoro-2007
« Manàna hazon-damosina ! »
Qui n’a pas entendu, au moins une
fois dans sa vie, ce rappel à l’ordre sous forme d’invective ? C’était pour
nous faire comprendre que notre fierté nous aura fait défaut à un moment ou un
autre…
Que nous avons trop
facilement abdiqué face à une injustice flagrante qui méritait une plus saine
réaction de notre part ; que nous nous sommes pliés devant quelqu’un qui tenait
à nous manipuler. En clair, que nous nous sommes laissés faire alors que nous ne
le devions pas. Même en toute connaissance de cause, nous n’avions pas osé dire
« Non ».
La volonté nous aura manqué
pour oser.
Personnellement, de la part
des aînés et des anciens, je l’ai maintes fois subi ce « Manàna hazon-damosina ! ». Tellement assommant que j’ai fini par
m’interroger sur sa signification et son sens, au propre comme au figuré. Il
fallait faire fi d’orgueil. Si l’avoir reçu en pleine figure m’avait autant
choqué, voire blessé, c’est que quelque part cela devait être vrai.
C’est quoi ce fameux «
hazon-damosina » ?
La colonne vertébrale qui
permet à la charpente humaine de se tenir debout et droit. Ah !? Ce doit être
ça, le message. La métaphore doit venir de là. Faire face. Ne pas plier malgré
l’adversité. Et en cas de chute, se relever. Vite fait. Oui, mais comment en
faire une règle de vie ? Comment en faire une habitude, mieux encore, un
réflexe ?
Une astuce comme une autre :
s’occuper véritablement de la santé de la colonne vertébrale proprement dite.
Presque tous les organes
vitaux se concentrent autour d’elle. Elle relie le bas du corps avec le haut,
soutient le tronc auquel se rattachent les membres et la tête. Elle abrite la
moelle épinière. Et plein d’autres choses encore. Ce qui veut dire que tout ça
dépend d’elle. Et de sa santé.
Connaissances des plus
basiques, serait-on tenté de rétorquer, qui n’apprennent rien. Justement !
Souvent, c’est notre fausse désinvolture face aux détails des évidences qui
nous perd. L’inévidence de l’évidence, diront les philosophes.
Nous disions dernièrement que
la discipline respiratoire fait le secret de la vigueur et de la longévité.
Et si aujourd’hui, nous
disons que la colonne vertébrale fait partie intégrante du système respiratoire
humain, qu’en penserez-vous ?
Autrement dit, on respire
avec les poumons. C’est naturel.
Mais on respire mieux avec la colonne vertébrale aussi. C’est culturel.
Mais on respire mieux avec la colonne vertébrale aussi. C’est culturel.
Illustration musicale :
https://www.reverbnation.com/vah%C3%B6mbey/song/27202329-message
https://www.reverbnation.com/vah%C3%B6mbey/song/27202329-message
Savoir respirer.
La respiration, inspirer et
expirer, est absolument nécessaire. La maîtriser, du moins en faire l’effort,
est fondamental. Qu’il s’agisse de vigueur physiologique, de clarté mentale, de
tonicité cardiaque ou de vivacité spirituelle.
Exercer un contrôle sur les
mouvements respiratoires permet de s’assurer l’équilibre, notamment entre
gauche et droite. De même la stabilité, de bas en haut. S’en occuper physiquement
aide beaucoup à devenir psychologiquement à la fois
stable et équilibré.
A partir de cet article qui clôt
la première partie de « Se coacher soi-même », nous allons voir
ensemble même de manière sommaire comment faire. Evidemment, rien n'est plus
malaisé que de s’expliquer à ce sujet par écrit. Rien ne vaut un tête-à-tête en
matière de coaching.
Seuls ceux qui s’inscrivent
pour participer à nos séances privées payantes bénéficieront d’un guidage sur
mesure. En effet, il est nettement plus instructif et, de surcroît, avantageux
d’observer de ses propres yeux ce qui est à faire. Et surtout comment faire.
Tout individu véhicule un
historique de ressenti, de vécu, d’habitude et d’expérience. Aussi, rien ne
vaut le contact direct pour ajuster un transfert de savoir et de connaissance
sur le canevas des besoins et des aspirations d’un apprenant.
Toutefois, nous allons
détailler ici certaines bases théoriques. Autant que faire se peut. Faisons
comme si nous ne savons rien du tout. Et progressons étape par étape.
Inspirer uniquement par les
narines.
Expirer exclusivement par la bouche légèrement entrouverte.
Expirer exclusivement par la bouche légèrement entrouverte.
Mine de rien, c’est
important. Nous découvrirons pourquoi et de mieux en mieux au fil de la série
d’articles. Pour le moment, faisons-en l’expérience. Où que nous soyons. Cette
simple prise en main peut se faire discrètement. Elle décongestionne le diaphragme.
C’est ce qui se constate en surface.
En profondeur, elle assouplit
le chakra jaune tout en dilatant le chakra vert. Nous y reviendrons. Pour le
moment, disons simplement que cette manière de respirer évacue les résidus
d’émotions négatives pour faire affluer les ondes d’émotions positives.
Un petit bonus, pour terminer
?
Tout en appliquant ce
procédé, pointons le bout de la langue vers le palais. Sans s’efforcer plus
qu’il ne faudrait. Il suffit juste de mettre en contact permanent le bout de la
langue et la partie supérieure de la cavité du palais.
Faisons-le en douceur autant
de fois que nous le voulons.
Focalisons notre attention sur ce que nous ressentons.
Focalisons notre attention sur ce que nous ressentons.
Cela améliore la sensation d’équilibre.
Et à la longue, la clairvoyance
aussi.
Mine de rien, le chakra indigo se stimule ainsi.
Mine de rien, le chakra indigo se stimule ainsi.
Voulez-vous approfondir un peu plus ?
Un entretien personnalisé en face-à-face vous permettra de mieux décider.
Cette prise de contact est gracieusement offerte, non-payante.
Un entretien personnalisé en face-à-face vous permettra de mieux décider.
Cette prise de contact est gracieusement offerte, non-payante.
A SUIVRE.