dimanche 17 mai 2020

Erreur système.


Qualifier l’irruption du CVO Covid-Organics dans l’arène de la Covid-19 de délit épistémologique.
Tel est le dessein du bloc qui lui fait barrage.

Revoyons l’historique du produit en tant que tel.
Paradigme scientifique en vigueur, strictement appliqué.
Et ce, par une institution-modèle historique,
l’ IMRA de Rakoto-Ratsimamanga.
Institut Malagasy de Recherches Appliquées.

Où est l’erreur ?




Les enjeux géo-mondiaux sont-ils si phénoménaux qu’il faille sacrifier à leur autel tout bon sens éthique ?
« (…) le questionnement qui précède l’introduction de l’idée de loi morale (…) » (1)

Dans ce cas de figure, demeure-t-il concevable pour chaque individu de décider du choix de demeurer vivant ? Simplement.

Cherchez l’erreur !


Au point où est le monde d’aujourd’hui, à la lucarne des médias,
la sacralité d’une unique vie humaine détruite par le coronavirus n’est rien devenue.
Sans valeur, insignifiante, asphyxiée par des barbituriques axiologiques.

Euthanasie programmée.
Le numérotage par lobotomisation aura déjà bel et bien commencé.
Mais ce serait mésestimer l’enracinement ontologique de l’existant.


Appréciez l’erreur !


De la métaphysique, CVO Covid-Organics fait son terroir. Là d’où il est issu.
Ses molécules sont sécables. Ses codes sont lisibles.
Mais le tout qu’il fait ?
Le principe qui le fait ?
Jamais.

MASINA.
Sacré.

C’est à respecter ou à laisser.
Santé ou décès.

Zéro erreur.



(1) Paul Ricoeur, Epistémologie.
      www.universalis.fr

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