mardi 27 décembre 2011

sahalanitra - jardin du ciel - garden of heaven


Prémisse d'un essai aux couleurs des prémices champêtres ?

Ouvrage littéraire en cours d'écriture.




Plume d'un waterman. Encre violette toute lumineuse comme l'améthyste. Mélanger le bleu, le rouge, une goutte de vert, un soupçon de jaune... Arabesques avec des mots. Calligraphie de la vie.  Ne trop s'attarder non plus. Le temps s'égrène et bouscule les phrases qui se répandent en continu.

La poésie est surtout belle quand elle se laisse effleurer du doigt. Sans que jamais on ne la tutoie. Jeter un oeil sur son jardin ? Ah, ça. Encore moins ! Et savez-vous quoi ? A en croire les lutins, ... Du ciel, son toit, elle aura tissé une immense aquarelle.

Les images vont et viennent. Leur sarabande, trop chahuteuse, fait pire que les jeunes taureaux prompts à gambader fort heureux de courir les prés. Autant donc les attraper au bout de l'azerty du clavier.

Qu'auront-elles donc à raconter ?

(...)

lundi 26 décembre 2011

Comatose christmas 2011



Ci-gît…

Ainsi commence presque toujours une épitaphe.

«  Ci-gît la tentative ratée d’un vil personnage.

Il aura osé empoisonner le plat de celui qui le fréquente en toute simplicité depuis des années.

Pourquoi ? Personne n’en saura presque rien. Surtout pas le rescapé qui décide de tout oublier. Mieux encore, de pardonner. 

La chance était avec lui. Et plus encore, avec son exécuteur qui s’est épargné un meurtre sur la conscience. »


Noël 2011 demeurera pour moi un beau souvenir. J’aurai reçu mon plus beau cadeau : la vie. Tellement beau que je garderai aussi l’emballage : un avertissement à vie.

De l’empoisonnement mortel dont j’ai été victime quelques jours avant Noël, ma volonté de poursuivre mon idéal de tout faire pour que ma Nation connaisse la prospérité ne ressort que plus raffermie.

Monsieur l’empoisonneur m’aura en fin de compte rendu un très grand service. Je lui dis honnêtement merci. Il n’y aura ni plainte, ni poursuite puisqu’il m’aura appris à mieux me méfier désormais des fanatiques en tout genre.

Trop occupé à surveiller la direction des kalachnikov, beretta et autres lance-roquettes aux mains des humanoïdes en uniformes, j’aurai perdu de vue la méchante sournoiserie de ceux qui se camouflent en moutons pour se transformer en fauves dès qu’aura sonné l’hallali.

Or, ceux-là seraient autrement vicieux aussi. Ces fanatiques d’un messie qui débarquerait, après moult promesses, d’outremer en jet privé. Joyeux noël à l’un de ces fanatiques de m’avoir sérieusement averti à défaut de m’avoir définitivement éliminé en toute hypocrisie.

Entendu, un homme averti en vaut deux. Surtout un ressuscité d’outre-tombe grâce à des soins médicaux de qualité et au miracle de la nativité.

Vivement donc les présidentielles !

Que ceux qui ont du sang sur les mains, du « volam-bahoaka » sous les oreillers, des deals éhontés comme joker secret et du bois de rose pour les propagandes s’alignent tous aux starting-blocks.

Qu’on ne fasse barrage d’aucune distinction entre politico-politiciens de métier et honnêtes citoyens désireux de s’engager. Remettons le compteur électoral à zéro, la CENI et le code compris. Que la meilleure foi gagne sans tricherie !

Seuls les mpanazary, jardiniers de l’univers, mériteront de guider la Nation vers la prospérité. Pourquoi vous me demanderez ?

Leur récompense, déjà acquise, est simplement ailleurs que dans " la vanité et la poursuite du vent ".

Portez-vous bien, 2012 sera un millésime des plus divins.

Antsirabe, 26 décembre 2011

RABEARISON Roland Dieu Donné Vahömbey

FAnambinana MAdagasikara – FAMà.

mardi 6 décembre 2011

FAMà : « L’horizon est la lisière de mes rizières »

   
Préambule

FAnambinana MAdagasikara - FAMà a toujours participé activement au processus de Transition actuellement en cours. Par choix délibéré, notre mouvement opère dans la discrétion. Quand la nécessité d’une interpellation s’impose, nous nous exprimons sans dépasser les limites d’une certaine décence.

Nous situant dans l’opposition, nous avons toujours préféré nous en tenir à un cadre non-formel. Au lieu de manifester dans la rue ou d’épaissir les rangs des bénéficiaires de mandat officiel, nous nous concentrons sur l’élaboration des propositions, projet de société et programme politique, à mettre en oeuvre durant notre unique mandat présidentiel. (1)

A ce propos, des esprits bienveillants et éclairés souhaitent nous voir dévoiler les détails des aspects techniques correspondant aux fondements de notre programme politique publié récemment. Quoique finalisés, ceux-ci ne manqueront de s’affiner sans arrêt. Pragmatisme oblige, n’est-ce pas ?

Raison supplémentaire d’éviter de les divulguer précipitamment ? Choix tactique tout ce qu’il y a d’évident. Chaque chose en son temps, nous abattrons nos cartes au fur et à mesure du cours des événements. Quoique politique signifie aussi conquête du pouvoir par voie démocratique, FAnambinana MAdagasikara - FAMà tient à se singulariser par son sens incorruptible d’une authentique éthique.

LE politique se doit d’ennoblir l’humanité et de polir la citoyenneté. A ce titre, notre engagement politique épouse la philosophie qui est « L’horizon est la lisière de mes rizières ». (2)

Félicitations

Félicitations, Messieurs le Président de la Haute Autorité de la Transition et le Premier Ministre Chef du Gouvernement, pour votre franche collaboration en vue de redresser la situation.

Félicitations à tous les membres, sans exception, du Gouvernement d’Union Nationale. Qu’ils réussissent tous leur mission d’amener à terme la Transition en oeuvrant ensemble pour la tenue, dans les meilleures conditions possibles, des élections envisagées dès mi-2009.

Félicitations à tous les membres, sans exception, du Conseil Supérieur de la Transition et du Conseil de la Transition. Que la tolérance guide avec clairvoyance leurs décisions prises au nom de toute la population. L’honneur de la Nation et le devenir du pays sont désormais entre leurs mains. Que cette responsabilité puisse être assumée avec maturité et dignité.

Félicitations à l’Opposition de remplir son rôle de contestataire politique, quand besoin est, pour sauvegarder les valeurs fondamentales démocratiques. Sa vigueur repose sur la légitimité de sa quête de justice obéissant à l’intérêt supérieur de la Nation. La dérive partisane est, pour elle, le handicap à surmonter si elle veut redonner à la politique ses lettres de noblesse.

Félicitations à la Société Civile de maintenir son rang de médiateur et d’endurcir son caractère de bâtisseur. L’éducation citoyenne, dévolue d’habitude aux associations et autres organisations spécialisées, doit par nécessité s’élargir au sein de toute la population active. Le progrès dépend du réveil du citoyen qui prend conscience de ses droits et devoirs civiques pour agir en conséquence.

Félicitations aux journalistes et aux communicateurs de tous bords d’éviter de verser dans la manipulation malsaine malgré l’ambiguïté du contexte sociopolitique. Dotés du pouvoir incommensurable de traiter les informations en fonction de leurs propres prismes, authentiquement personnels ou téléguidés par des intérêts inavoués, ils ont à considérer chaque édition et publication comme un cas de conscience des plus délicats. Faire l’équilibriste sur le fil du rasoir de la conscience, personnelle comme professionnelle, est loin d’être chose aisée.

Félicitations à la population malagasy, et aux citoyens en particulier, de faire preuve de patience et de calme exemplaires malgré les aléas d’un quotidien souhaité plus sain. Le stoïcisme affiché n’en est que plus louable face au cynisme de la situation. N’en déplaise aux théoriciens du masochisme, une telle attitude est loin de ressembler à de l’attentisme ou à un quelconque fatalisme. Sa raison profonde, à notre sens, déborde aussi des carcans trop commodément prêtés à la religion. Le recul, un de ces jours, permettra aux vrais curieux de deviner pourquoi le malagasy demeure aujourd’hui immobile et inexpressif quoique vigilant et attentif.

Disposition d’esprit

Citoyens, entretenons notre optimisme constructif. C’est une question de choix et de volonté. Soyons lucides et demeurons critiques pour circonscrire tout excès. Le nôtre autant que celui de nos semblables. Mais de grâce, abandonnons tout préjugé et toute arrière-pensée virus de la négativité.

Nous aurions mille raisons de nous révolter contre les agissements malfaisants de ceux qui, par leurs nuisances sur le plan national et au niveau international, nous malmèneraient aujourd’hui. Les exemples seraient légion. Quelle morbide satisfaction pour les actualités fortement médiatisées de nous submerger de frayeur, de tueries et de cataclysmes naturels ! Quelque part, des orgueilleux égoïstes manipulateurs, pressés de tenir le monde au creux de leurs mains, devraient bien jubiler de nous voir paniquer.

Voulons-nous leur résister et mieux encore, nous désaliéner pour nous émanciper ? Inutile dans ce cas, de garder rancoeur à leur endroit. La rancune est mauvaise conseillère. Son pire effet pervers est de nous pousser à nous entêter à scruter l’obscurité à travers des lunettes opaques. Cela ne peut que nous empoisonner, nous altérer la vision et nous pourrir la vie. C’est, en fin de compte, capituler devant leur arrogance et nous laisser moudre dans leur moulin.

De ce point de vue, méritent-ils la plus infime considération ? Si non, pourquoi épuiser déraisonnablement nos forces mentales en les transférant vers ce que nous tenons à refuser ? Si nos récriminations acharnées nous reviennent tel un boomerang pour nous acidifier outre-mesure le tube digestif, il n’y aura lieu de s’étonner. A défaut d’être positifs, soyons donc au moins neutres et effaçons-les de nos préoccupations. Ce qui, d’une part, nous soulagera d’un fardeau qui est d’abord le leur. Et de l’autre, réduira la nocivité de toute influence jugée néfaste.

Elargissons notre champ de vision. Triomphons de nos doutes, de nos craintes et de nos peurs. Apaisons nos colères. Que faire ? Apprendre à désapprendre et oser faire tabula rasa pour commencer. Discipliner la pensée sans la laisser se disperser comme bon lui semble et se concentrer uniquement sur ce qu’on veut penser. Ou plus simple encore, aimer sans attendre d’être aimé et aller au-devant d’autrui en toute innocence, sans armure ni arme à portée de main.

Que peut-il nous coûter de briser la gangue du scepticisme et les entraves du pessimisme quand sur l’autre versant, il y a tout à gagner ? Question ouverte à se poser en toute sincérité. Faire confiance à la vie commence par se l’accorder à soi-même. Aucun messie venant d’ailleurs n’est à attendre pour nous faire franchir le cap de l’incrédulité. A chaque bonne volonté de le devenir pour elle-même si elle tient à semer, selon ses aspirations, le succès sur son trajet. Et la générosité de la Vie, de tout faire fructifier.

Ainsi fonctionne l’Univers dont nous sommes tous les légataires. Il n’y a ni dérogation, ni exception. Le libre arbitre est notre plus précieux don. A nous d’en faire ce que nous voulons. Autant donc rire de nous-mêmes quand nous noircissons l’instant présent, non ?

Nous voulons l’amour, la paix, l’abondance et la prospérité. Réussissons tout ce que de bon cœur, nous souhaitons. Edifions ainsi la Nation dont chacun de nous est la pierre angulaire. Poursuivons l’ouvrage, il est grand temps. La qualité de l’avenir saura s’enrichir de notre créativité si, dès à présent, nous lui faisons offrande de nos talents.

Citoyens, surmontons toute limitation. Quelle extraordinaire inspiration encore que celle de ce poète du rap de bon ton ?

« Ny faravodilanitra no valam-parihiko ».

En effet, « L’horizon est la lisière de mes rizières ».

Citoyens, merci de votre attention.

Antsirabe, 06 décembre 2011.


RABEARISON Roland Dieu Donné Vahömbey

FAnambinana MAdagasikara – FAMà.


Post-scriptum :

« Ny faravodilanitra no valam-parihiko ». Traduction par nos soins : « L’horizon est la lisière de mes rizières ». Il s’agit de l’adaptation contemporaine par Jento du groupe de rap Da Hopp de la légendaire maxime du roi Andrianampoinimerina (1740-1810) « Ny ranomasina no valam-parihiko » dont la traduction courante est « La mer est la limite de mon royaume ».

(1)        Voir mailing du 30 novembre 2011, fichiers attachés : « Brief FAMà, step 2 » et « FAMà Raharaham-pirenena ».

(2)        « Ny faravodilanitra no valam-parihiko. », Jento du groupe de rap Da Hopp, extrait du titre « Masoandro », album musical « Fanantenana », Dago Sound, Madagasikara, 2003.








jeudi 24 novembre 2011

FAnambinana MAdagasikara, STEP 2



Point zéro : 06 juillet 2009. Annonce publique de notre candidature aux présidentielles.

Step 1 : août 2010. Publication de notre projet de société, en version française à l’intention des leaders d'opinion, des décideurs et des chancelleries.

Step 2 : 30 novembre 2011. Publication des fondements de notre programme politique : FAMà Raharaham-pirenena. En version malagasy pour large diffusion auprès de nos concitoyens.

Prévoyons les élections présidentielles pour le dernier trimestre 2012. Les conjonctures nous imposeront-elles une autre échéance ? Peu importe, nous saurons nous en accommoder.

Merci à toutes nos cellules akama FAMà fonctionnelles depuis mi-2009. Félicitations pour leur efficacité malgré les contraintes : discrétion imposée par le climat d'insécurité, revenus personnels amoindris, chantages grossiers et divers empêchements. Leurs expériences acquises en 2 ans et demi de pratique politique dans un contexte particulièrement défavorable sont riches en enseignements.

Il n’est nullement besoin d’attendre l’aval ou les instructions de l’initiateur pour se constituer en cellule autonome de soutien akama FAMà. La démarche peut être tout à fait non-formelle. L’esprit, le positionnement, les axes de réflexion et les lignes d’action sont consultables sur fanambinanamadagasikara.blogspot.com

Au besoin, le contact par mailing peut renforcer le lien avec l’initiateur pour tout akama FAMà qui le souhaite. A chaque sympathisant de prendre l’initiative qui lui convient personnellement.

Que les sympathisants s'organisent eux-mêmes, de leur propre chef, avant de contacter éventuellement un(e) zokibe FAMà. Ainsi, fonctionne notre " Anteni-miakatra ". Ce procédé permet d’actualiser la prospective et d’affiner les perspectives.

D’emblée, optons franchement pour la qualité, plutôt que la quantité, de nos ressources humaines. Aussi, évitons toute forme de racolage pour grossir les rangs de nos propagandistes lors des prochaines échéances électorales. Fussent-elles les présidentielles !

Inutile et polluant, voire carrément néfaste, en politique d’aller pêcher dans le vivier des voisins. Occupons-nous de nouvelles pépinières. Autant que possible, recrutons des bonnes volontés au casier politique vierge. Ne débauchons point. Notre politique est citoyenne et nullement politico-politicienne.

Encourageons les nôtres à verser une contribution volontaire " latsak’emboka " qui, dûment enregistrée, sera leur quote-part. Avec cet engagement, même symbolique, chaque acteur du mouvement devient actionnaire. C’est à la fois une question de dignité et de fierté. D’une part, ce principe encourage à participer activement au succès du mouvement FAMà. D’autre part, il confère le droit d’exiger des résultats satisfaisants au sein de notre structure hiérarchique interne durant notre mandat présidentiel.

Notre approche centripète est très importante puisqu’elle engendre le dialogue et débouche sur la justice sociale. Nous adoptons des idéaux humanistes et nous situons politiquement à Gauche. Nous nous devons d’écouter les nôtres et de libérer leur sens de l’initiative. Se faire confiance s’apprend progressivement.

DECLARATION DE FOI

Pour rappel, le diminutif du nom de notre mouvement est FAMà : famaha-olOna, famaha-olAna. Autrement dit, ce qui libère l’homme et ce qui le libère des problèmes.

La base de notre logotype est le trèfle à 4 feuilles : foi, espérance, amour et chance. Ce porte-bonheur existe en vrai. Le fahavaratra le voit fleurir à Antsirabe. La générosité de la nature le fait pousser dans notre jardin. Il ne se vole, ni ne se vend. Par contre, il s’offre volontiers à qui sait en prendre soin.

FAnambinana MAdagasikara en fait le symbole de la prospérité, mère de l’abondance.

L’abondance universelle est perpétuellement là, toujours prête à se déverser. Il suffit d’y penser correctement sans se laisser perturber sur les plans suivants : mental, psychique, émotionnel et somatique.

L’abondance est naturellement à notre portée en quantité illimitée. Elle se renouvelle à volonté pour tout le monde sans exception. Nous avons avec elle un contrat à durée indéterminée, sans restriction ni intermédiaire, et de gré à gré.

Pendant des siècles, certains privilégiés en ont fait un secret, pire encore, un mystère. Ils entretiennent le spectre du manque, normalisent la peur, provoquent des guerres, imposent la terreur et scénarisent des horreurs. Ils maquillent le paradis qu’est la terre, en enfer. Mais bonne nouvelle ! Le voile noir aujourd’hui se déchire. Halte à l’ignorance !

L’abondance nous attend. Sa source, nous le savons tous, est intarissable. Les physiciens la nomment Energie. Les philosophes la qualifient d’Univers. Les croyants, eux, l’appellent DIEU.



Post-scriptum: 


Ce texte, version modifiée de la précédente publication, a fait l'objet d'un mailing le 30 novembre 2011 avec "FAMà Raharaham-pirenena" comme fichier attaché complémentaire. 
Contact par e-mail: fanambinanamadagasikara@gmail.com



FAnambinana MAdagasikara: drafi-pitantanana raharaham-pirenena


Fenitra: mampanambina ny Firenena.

Tanjona: mampikolokolo ny tanin-taranaka.

Fepetra: mampisongadina ny tanora.

Sori-dahasa tanterahana isan-tsokajy:

A. Ara-kolontsaina

1. Manabe voa ny Maha-Olona: olombelona - olombanona - olonkendry.
2. Mampifanjohy ny fikarohana sy ny fampandrosoana.
3. Mampirindra fifanabeazana: ampianarana sy am-pikambanana, amperin-draharàha sy ampialàm-boly, ankalamanjana sy an-dalàmbe.
4. Mampijoro ho olompirenena vanona mamelombolo ny tontolo iainana ho tontolo ivelomana.
5. Manandratra ny maha-malagasy ankehitrio anivon’ny fanontoloana.

B. Ara-tsosialy

1. Mampimira lenta ny lehilahy sy ny vehivavy.
2. Manatevina ny soatoavina ifotoran’ny ambaindaim-piarahamonina.
3. Manatsara ny toe-piainana andavanandron’ny mpiray monina sy ny firijarijan'ny mpiara-belona.
4. Mitsinjo manokana ny sahirankirana ara-pivelomana: sembana, beantitra sy kamboty ary mananontena.
5. Mampiaina ny fifanomezan-tànana sy ny fiantsoroan’andraikitra fifanasoavana.

D. Ara-toekarena

1. Mifototra amin’ny asa aman-draharaha mendrika sy fivelomana mampahomby ary famoronana mampavitrika.
2. Mikoja ny tontolo famokarana: fambolena sy fiompiana ary jono, fitrandrahana harena ankibon’ny tany sy fanodinana akora ary fifehezana herinaratra.
3. Mampivelatra ny tsenam-barotra sy ny tambazotram-pitaterana ary ny rantsamangaikan-tserasera aman-kirakira isan-tsampany.
4. Mampitombo ny fahaiza-mitantana: fampirindràna ny faharisiha-mitahiry sy ny fahafaha-manjifa.
5. Manitatra ny tohivakàm-pihariana fampiteraham-bola aman-karena.

E. Ara-politika

1. Manompo ny fahamarinana, mitandro ny rariny sy ny hitsiny.
2. Miantsoroka miara-milanja, ifotony sy isan’ambaratonga.
3. Manaja ny mpanohitra sy ny fiarahamonimpirenena.
4. Mampiara-monina anaty lapa be tia maro.
5. Manazary voaàry mampiadam-pinaritra.


Rasavolana:



Lasitra ho an’ny FANAMBINANA ireo voasoritra ireo.


FAnambinana MAdagasikara - FAMà. Midika hoe: famaha-olOna sady famaha-olAna.

Mitosaka ny fanambinana rehefa fifankatiavana sy fahasoavana ary filaminana no sainintsika ombieny ombieny.

Fadiana ny mamosavi-tena amin’ny eritreritra mivilana sy ny bingom-po ary ny hamantsinàn-doha.

Tanteraka hatrany izay ao ampontsika koa iriantsika. Na iniana io, na tsy nahy. Na tsara io, na ratsy. Izay no lalàn’ny Voaàry manontolo.

Koa ndeha, rey havana isany, fanambinana lalandava no imasoana.

Rehefa manao izay mampanambina ny hafa isika dia ambinina toa kindriandriana ho antsika ihany koa.

Samia velon-driaria satria efa tsara paika ny teti-panorona FAMà.

Koa ny aina no matezà, tompokolahy sy tompokovavy,

Fanambinana ho an’ny tsirairay avy.


Antsirabe, faha-24 novambra 2011


RABEARISON Roland Dieu Donné Vahömbey.




samedi 15 octobre 2011

Séjour à Turin: ITCILO & Saint Suaire.





Afin d’optimiser la préparation de notre mandat présidentiel, nous avons récemment pris la décision d’envoyer une légère délégation à Turin en Italie. Etudes au campus de ITCILO (1) et pèlerinage auprès du Saint-Suaire (2)





ITCILO

Le campus offre un environnement multiculturel et multilingue où la convivialité est palpable au quotidien. Ci-après, extraits de sa déclaration de mission:

« Le Centre entend être le numéro un de la prestation de services de formation et d’apprentissage orientés sur le monde du travail. Ses activités et programmes d’apprentissage, de partage de connaissances et de développement des capacités des gouvernements, des organisations de travailleurs et d’employeurs ainsi que d’autres partenaires du développement sont basés sur les idées, les meilleures pratiques et les expériences comparatives les plus récentes dans les domaines suivants :

-      Droits au travail
-      Entreprise, microfinance et développement local
-      Emploi et développement des compétences
-      Protection sociale
-      Dialogue social, tripartisme, législation du travail et administration du travail
-      Organisations de travailleurs et d’employeurs
-      Questions de genre et non-discrimination
-      Développement durable et gouvernance
-      Méthodologies et technologies d’apprentissage. »

Puissent tous nos contacts, d’authentiques personnes-ressources d’un niveau professionnel exemplaire, trouver ici le témoignage de notre gratitude pour le chaleureux accueil qu’ils nous ont réservé durant notre apprentissage. Désormais, nous nous sentons mieux outillés pour nous consacrer au Mieux-Vivre de nos concitoyens.


Le Saint Suaire

Messe dominicale à la Cattedrale di Torino, dans un décor d’une esthétique à couper le souffle ? Recueillement, piété et dévotion empreinte de passion. Devant l’emplacement du Saint-Suaire, vécu de l’amour infini transcendant la dimension humaine.

Une fenêtre sur le mystère du Christ ?

« Quel que soit le jugement historique et scientifique que des spécialistes de valeur voudront bien exprimer à propos de cette surprenante et mystérieuse relique, nous ne pouvons pas manquer d’exprimer des vœux pour qu’elle serve à conduire les visiteurs non seulement à une observation profonde et sensible des traits extérieurs et mortels de la merveilleuse figure du Sauveur, mais qu’elle puisse aussi les introduire dans une vision plus pénétrante de son mystère caché et fascinant. » (3)


Des larmes aux yeux. Ressentir dans sa propre chair les souffrances infligées au Maître. Des perles de larmes, encore et encore ! Que de questions ! La plus grande de toutes, où trouver le Pardon ?

« La grande erreur de tant de gens, c’est de voir Jésus finir dans le malheur de la mort sur la croix. Ils oublient totalement que la plus grande partie de sa vie s’est écoulée postérieurement à sa résurrection. Jésus est capable d’enseigner et de guérir aujourd’hui bien mieux que jamais autrefois. Vous pouvez accéder à sa présence à tout moment pourvu que vous le vouliez. Si vous le cherchez, vous le trouverez. Jésus n’est pas un roi qui puisse vous obliger à accepter sa présence, mais un grand frère qui reste toujours prêt à vous aider et à aider le monde. Quand il vivait sur le plan mortel ou terrestre, il ne pouvait atteindre qu’un nombre restreint de personnes. Sous la forme qu’il a revêtue aujourd’hui, il peut atteindre tous ceux qui regardent vers lui. N’a-t-il pas dit : « Là où je me trouve, vous pouvez vous trouver aussi ? » Cela signifie-t-il qu’il soit loin dans un endroit appelé ciel, et qu’il vous faille mourir pour y accéder ? Non, il est là où vous êtes, il peut marcher et parler avec vous. Il suffit de le laisser faire. Elevez un peu votre regard, embrassez un horizon plus vaste, et vous le verrez pour peu que votre cœur et votre pensée soient sincèrement avec lui. En examinant attentivement son corps, vous verrez les cicatrices de la croix, de la lance, et des épines complètement guéries. L’amour et le bonheur qui rayonnent autour de lui vous diront qu’il sait tout oublier, tout pardonner. » (4)

Jésus-Christ, « le chemin, la vérité et la vie » ?

Evidence à découvrir: le Christ est en nous, aussi différents que nous soyons.

Conclusion

Etre à la tête d’une Nation, c’est s’ouvrir le cœur sur le monde. Ne jamais cesser d’apprendre auprès de ceux qui savent, des plus humbles aux plus grands. Et se souvenir du Président algérien Boudiaf, assassiné en direct à la télévision pour avoir osé défier la corruption. Contre l’oppression coloniale et malgré l’appréhension des siens, il avait réussi à mener son pays vers la libération. Au moment où tout le monde se terrait, il avait déclaré « Si vous avez peur de vous soulever, j’irai quand même me battre. J'appellerai, s'il le faut, les singes de la montagne pour m’accompagner ».


(1)   International Training Centre of the International Labour Office.

(2)   « Le Saint Suaire est le linceul dans lequel, selon la tradition, le corps du Christ après sa mort en croix fut enveloppé et déposé dans une tombe neuve. Avant le 14ème siècle, le Suaire pourrait avoir été conservé en Turquie (d’abord à Edesse, aujourd’hui Urfa, puis à Constantinople) et aussi en Grèce, à Athènes. Les documents historiques attestent la présence du Suaire en France, à Lirey (milieu du 14ème siècle) et à Chambéry (début du 16ème). La Relique arrive à Turin (Italie) en 1578, elle se trouve toujours en la cathédrale de la ville. » Extraits de « Come leggere LA SANTA SINDONE », 2010, p.8

(3)   Paul VI, « Une fenêtre sur le mystère du Christ », Ibid, p.30

(4)   Baird T. Spalding, La vie des maîtres, Editions Robert Laffont 1972, Collection J’ai lu, pp. 152-153

vendredi 30 septembre 2011

SAINA FOTSY : Anjomara fanairana !



SALANITRA Ê… !

Saintsaino tsara, ry Olompirenena, sao eo antokonam-baravaran'ny tsy manantsiny no hirefotra ny "printemps malagasy" ! Lohataona tokoa anie isika io ê. E ity ingahibemasoandro mamaky loha sola toa ny ahy izay efa nanakipaka volo lava ! 

Mandromodromotra ny voaàry manontolo !! Maitso ahitra ny tambanivohitra. Refona tsy manan-katokona. Hiridana ny doro-tanety. Very fialofana ny an-tanàndehibe. Boka trosa mampi-te hamono tena. Hiridana indray ny doro-magazay ? LOHATAONA mahamay.

Ho an'ireo tafintohina noho ny lahatsoratra " Radio SAINA FOTSY, satellite SF-fb ". Matoa io nohiniana nosoratana amin'ny tenin-jatovo an-dàlambe dia hanairana fa efa mihaodihaody mandrani-njava maranitra ireo Bandy akama leo sy tofoka ny viraviraina ireo ! 

Tsy hisy ho afa-bela ny mpiara-monina raha mbola indraindraina ny tsangan'olona na mpitondra io, na mpanohitra ofisialy. Na mpihambo mahay pôlitika io ! Na mpifikafika pôliFika matihanina !!

Tsy mandraharàha n'iza n'iza amin'ireo ny SAINA FOTSY !
Ny fiarahamonina manontolo eto no tsinjovina. Ny anongotsongoina ny maty ê ! Sao mandevina ny velona. 

Koa avela hirefotra ankabibiana ve ny "printemps malagasy" sa tantanana ampilaminana mba ho fanavotana ampahamendrehana, tsy ankifamono ho faty ? 

Izaho manokana malaina tanteraka amin'ny ady sy korontana ! Saingy ho voavalan'i SAINA FOTSY ve ity haromotam-bahoaka efa miraondraona ity ? Ahy sy anao no mamaly izany !

AGNÂBO SAINA FOTSY Ê !

Aleo misoroka toa izay mitsabo !

AGNÂBO SAINA FOTSY Ê !!

Anjomara fanaraina mialoha lakolosin’antambo !

AGNÂBO SAINA FOTSY Ê !!!