Le triomphe de la mort sur la croix est résumé dans l’esprit du comportement de Jésus envers ses agresseurs. Il fit de la croix un symbole éternel de la victoire de l’amour sur la haine et de la victoire de la vérité sur le mal quand il pria : “ Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. ”
La croix est le symbole supérieur du service sacré, la consécration de votre vie au bien-être et au salut de vos semblables.
Elle se dresse pour toujours, sur terre et dans tout un vaste univers, comme un symbole sacré des bons s’effusant sur les méchants, et les sauvant ainsi par la dévotion même de leur amour.
La croix se dresse véritablement comme le signe de la plus haute forme de service désintéressé, du dévouement suprême consistant à effuser pleinement une vie de droiture au service d’un ministère accompli de tout coeur, même dans la mort, la mort sur la croix. La seule vue de ce grand symbole de la vie d’effusion de Jésus inspire véritablement à chacun de nous le désir d’en faire autant.
Dans la croix, il n’y avait rien que le Père ait exigé — mais seulement ce que Jésus donna si volontiers et refusa d’éviter.
La mort sur la croix n’était pas destinée à réconcilier l’homme avec Dieu, mais à stimuler l’homme dans sa réalisation de l’éternel amour du Père et de la miséricorde sans fin de son Fils, ainsi qu’à diffuser ces vérités universelles dans un univers entier.
Le dimanche matin à deux heures quarante-cinq, la commission paradisiaque d’incarnation arriva sur les lieux ; elle se composait de sept personnalités du Paradis, non identifiées, qui se déployèrent immédiatement autour de la tombe. À trois heures moins dix, d’intenses vibrations d’activités mixtes matérielles et morontielles commencèrent à émaner du tombeau neuf de Joseph d’Arimathie et, à trois heures deux minutes, ce dimanche 9 avril de l’an 30, la forme et la personnalité morontielle ressuscitées de Jésus de Nazareth sortirent du tombeau.
4 commentaires:
L’amour est la manifestation de l’impulsion vitale intérieure et divine.
Il est fondé sur la compréhension, entretenu par le service désintéressé et accompli dans la sagesse.
FAnambinana Paska mandavàm-piainana ho anao sy ny olontianao ary ny olon-tia anao.
FAnambinana Paska mandavàm-piainana
Ho an'ny voaàry manontolo,
Ho an'i MAdagasikara,
Ho antsika tsirairay avy.
Source du texte "La croix": Le livre d'Urantia, 4ème et dernière partie "La vie et les enseignements de Jésus".
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Avertissement: ce document suscite de très importantes controverses depuis plusieurs décennies.
A chacun, son opinion.
"Trafon-kena ome-mahery, ambàva omana, am-po mieritra."
"Voankazo an'ala, ny mamy atelina, izay mangidy aloa."
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